WOULD YOU SHINE FOR ME? → abbie.

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bring me to life

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NOM(S) ▷ Jones McCalister. PRENOM(S) ▷ Mary Abbigael. AGE ▷ vingt-six ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▷ dix-huit décembre 1985, new-york. TRAITS DE CARACTERE ▷ ambitieuse, tendre, sournoise, drôle, séductrice, déterminée. GROUPE ▷ happy ending.

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they'll never know

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→ Abbigael ne pense pas toujours avant de parler. Elle se met souvent dans le pétrin à dire ce qu'elle pense s'en prendre conscience qu'elle peut blesser quelqu'un.→ Elle ressent tout intensément et ne prend rien à la légère, ou presque. Avec Abbie, c'est blanc ou c'est noir.→ Elle adore chanter, elle n'a pas une voix exceptionnelle, mais si elle ne parle pas elle chantonne. → Vous ne pouvez pas regarder un film avec elle sans qu'elle ne parle. Elle est critique, alors elle critique tout, surtout les films qu'elle trouve pour la majorité irréaliste. → Il y a toujours un livre dans son sac à main et un carnet de notes. Le temps libre est du temps perdu, alors dès qu'elle ne fait rien, elle lit. Et si elle voit quelque chose d'intéressant, elle est toujours prête à prendre des notes pour un prochain article de journaux. → Quand elle veut quelque chose, elle peut être très dérangeante, même harcelante, car elle finit toujours par avoir ce qu'elle veut.

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you're gonna go far, kid

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Abbie n'a jamais cru en l'amour. En fait, elle n'a jamais connu l'amour. Enfant, elle vivait avec son père. Sa mère les avait quittés alors qu'elle était qu'un bébé. Pour certain, ça ressemblerait à un drame, mais pas pour Abbie. Pour Abbie, c'est la vie. Il faut préciser que sa mère ne voulait vraiment pas d'enfant. Elle a même appelé sa fille Abeille. Vous voyez le genre? Abbigael n'a jamais vraiment souffert de son absence. Cette blondasse a toujours été très indépendante, même un peu trop...

« La passion est une obsession positive. L’obsession est une passion négative.»
À ce moment-là, Abbigael à six ans. Chaque jour, une nouvelle femme passe dans la chambre de son père. À cetâge elle ne comprenait pas, mais son père avait une "passion " pour le sexe. Il se disait amoureux de toutes les femmes quand elle lui demandait pourquoi est-ce que chaque matin, c'était une nouvelle femme qui déjeunait avec eux. Son père avait un bar branché à New-York. il avait un petit appartement juste au-dessus. C'est dans cet appartement même qu'elle avait été conçue, avec une femme désespérée du coin. Quelques semaines plus tard, elle avait débarquée dans le bar rageuse. « JE SUIS ENCEINTE CONNARD! TU VIENS DE T'EMBARQUER DANS UN SAL BATEAU MON VIEUX! TU VAS... » Abbie a hérité des sautes d'humeur de sa mère et de la passion débordante de son père. Il venait de lui couper la parole en l'embrassant comme si c'était le dernier baisé qu'il donnerait sans mère connaître le nom de la mère de son futur enfant. Ce fût neuf mois de cris et de réconciliation enflammée où des assiettes ont été lancées et des larmes ont coulé. Le dix-huit décembre 1985, Abbie vue le jour et sa mère partie on ne sait trop où. Son père un peu trop terre-à-terre n'a pas vraiment pleuré. En réalité, il ne savait pas trop dans quoi il s'était embarqué en l'embrassant trois semainesaprès leur relation d'un soir.


« La passion déteste tout ce qui n’est pas la passion. »
Abbie a toujours adorée son père, mais l'adolescence la rattrapa et vite, sa vie eu besoin d'un sens. Elle ne pouvait pas être comme lui. Travaillé, dormir, manger était inutile pour elle. Sa vie devrait être plus que ça. Autant son père était passionné par les femmes, autant la vie passionnait Abbigael. Elle faisait partie de tous les club du Lycée. Elle était Cheerleader, elle faisait partie de la troupe de théâtre, elle était dans la chorale de l'école, elle était même présidente du journal étudiant et ce n'était pas assez. « Je hais la vie, je trouve tellement que ça ne tourne à rien. Tu comprends? La vie passe tellement vite, j'ai déjà dix-sept ans. C'est fou. Je n'ai rien fait encore. La vie est pathétique. Je veux changer le monde, je veux voyager, je veux vivre plus que de travailler comme serveuse dans ce bar pourrit. La vie devrait être plus que ça, pas vrai? » Abbie parlait à la nouvelle femme qu'elle venait de rencontrer en déjeunant avant d'aller en cour. C'était maintenant plus que normal pour elle de voir une nouvelle venue chaque jour. La femme la dévisageait avec son café. Elle avait trop bu la veille surement. Son père riait et la vie continuait. Abbigael pensait toujours trop. Sa vie était baséesur la passion. Sans passion, ça ne servait à rien. C'était aussi pour cette raison qu'elle n'aimait pas l'amour. Les histoires passionnées n'existaient pas pour elle. Jamais elle n'avait connu de couple normal. Jamais elle n'avait vraiment connu l'amour, comment pouvait-elle y croire?

« L'homme est une passion inutile. »
Autant son père vivait pour les femmes, autant Abbie finit par les utiliser comme des objets. Elle s'en fichait totalement. Comme son père, elle finit par connaître que les relations d'un soir. Pas parce qu'elle ne pouvaitce passé des hommes, mais parce qu'elle ne vivait que pour la vie et non pour l'amour. Son amour, c'était la vie. Chaque moment, elle les vivait tellement que pour son travail que de se marier ou avoir une relation stable, elle s'en fichait. La vie ne se basait pas sur avoir un mari pour elle, mais sur quoi on accomplit. À vingt-trois ans, Abbie avait fait trois voyages humanitaires, un en Afrique, un en Haïti et un en Grèce. Elle avait construit une école, soigné des malades et protégé une espère de tortue en disparition. Maintenant, elle sortait du palais de Justice de New-York fière d'avoir gagné sa cause. Elle écrivait pour un petit magazine qui la sous-payait et où son patron était un peu trop "gentil". Un soir, il avait été un peu trop loin et au lieu de ne rien faire, Abbie avait choisi de faire bouger les choses. Jamais elle serait partie sans rien dire. Vous commencez à la comprendre. Elle trouve toujours une bonne raison pour se battre. Elle venait de gagner une belle petite somme d'argent. Elle avait pointé une carte des États-Unis du bout des doigts: Bryan, Texas était sa nouvelle destination. Après avoir fait ses adieux à son père, elle prit le volant de sa coccinelle et disparu pour un meilleur monde. Ça fait maintenant trois ans qu'elle a ouvert son petit journal où elle critique tout ce qu'elle peut. Elle tente de revendiquer les droits des humains, des animaux, des forêts et de tout ce qui a besoin qu'on aide. Toujours occupée, elle cherche à donner un sens à sa vie et vit à fond.

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i'm in here

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PSEUDO ▷ willfollowyouintothedark. AVATAR ▷ teresa palmer. COMMENTAIRES ▷ je vous aime déjà.

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